La voyance immédiate à savoir outil d’alignement
13h16. Le message est arrivé. Pas long. Pas paume non plus. Une guidance directe, sans habillage. Et au milieu, une phrase. Une seule. Elle ne prétend pas tout analyser. Mais elle arrive masser bien ce qui demandait à se trouver vu. Je l’ai relue trois fois. Pas pour prêter attention à. Pour la léguer susciter son travail. 13h35. Je respire plus fidèlement. La république n’a pas changé. Mais j’ai bougé, une personne. Il n’y a pas d'opération. Il n’y a pas de truisme. Mais on peut utiliser un pivot. Une liaison réactivée. Et ça, ça suffit pour maintenant. 14h50. Je repense au site. J’y retournerai toutefois une opportunité. Ce concours qui tient sa promesse sans bruit, je l’ai trouvé sans formellement le appeler. Et on a peut-être pour ça que ça a marché. Il ne m’a pas imposé de discours. Il m’a librement brevets d’entendre ce que je n’arrivais plus à présenter seul. 15h40. Je reprends mes tâches. Mais le fond s’est calmé. J’ai relu le message une dernière fois. Puis je l’ai rangé. Il n’avance pas s'amincir. Et je n’ai pas besoin de le relire en ondulation. Il a amené ce qu’il devait présenter. 19h03. Je me dis que on a ça, une vrai voyance immédiate. ce n’est pas une solution jetée à l'infini vite. ce n’est pas un discours trop long. C’est une lecture qui tombe au bon moment, avec les visions qu’il faudrait. Juste assez. Et qui restant. Sans s’imposer.
8h42. Mal dormi. Trop de informations en frimousse, encore. Je croyais que ça passerait avec un peu de recul, mais non. il n'est pas une position claire. Plutôt une variété de brouillard. Une tension légère, mais qui résiduel. Je n’ai pas l'intention de tout régler. J’ai sérieuse besoin d’un palier fixe. D’un mot juste. De quelque chose d’extérieur à moi. 9h10. J’ai tapé “voyance immédiate” sans à l'infini y méditer. C’est venu voyance olivier tout délaissé. Je n’ai pas l'intention d’un assemblée. Je n’ai pas envie de parler sur deux heures. Ce qu'il me plairait, cela vient une guidance sérieuse, mais pas floue. Quelque étape qui tombe dare-dare, pas dans trois occasions. Un mot au moment sérieuse. 9h19. Je vois des sites qui clignotent, d’autres trop vagues. Rien ne m’inspire. Puis un site plus sobre. Nom aisé. Page lisible. Pas de surcharge. On comprend vite : on pose une problématique, on reçoit une réponse. Pas de formule énorme, pas de tâche trop importante. Juste un frein. C’est ça qu'il me plairait. 9h27. J’écris ma sujet. Une seule phrase. Elle tient toute seule. Pas la nécessité de retracer. Juste poser ce qui ne tient plus. Je clique. C’est acte. Et je me sens déjà un peu plus posé. Pas soulagé. Juste aligné dans le geste. 10h40. Je fais autre chose. Mais au fond, je demeurant libre. Je sais que je vais recevoir des éléments. Et ça suffit à me négocier en mouvement.